Simple Sushi - Marseille
Formule choisie:
Menu Omakase à 45€
Qualité/Prix: 1,5/4
En dépit d'une belle prestation et d'un beau savoir-faire, très loin de tout ce qui se fait dans les plus gros mastodontes commerciaux du secteur, les prix sont désormais déraisonnables. Non pas que ces derniers ont augmenté mais les quantités se sont amenuisées: le tout accentué par la multitude de longs entractes entre chaque "bouchées". Pas d'exotisme en ce qui concerne les breuvages (hormis la plus connue des bières japonaises "Kirin-Asahi"): le "Château La Coste" est le parti pris du lieu.
Cadre/Décor/Service: 5/6
Situé au milieu du boulevard Notre Dame, non loin d'un de ses concurrents Sushi Street Café, ce sushiya de sept places comble sa très petite surface par un haut comptoir angulaire, propice à admirer la dextérité de Hung Do ou à dialoguer entre convives. L'ambiance y est zen et intimiste tandis que la décoration est sommaire: murs très sombres en stuc supportant quelques étagères où s'exposent une "Oroshi" (petite planche en bois, recouverte d'une peau de requin), une statuette nipponne et un service de table authentique (exit les boîtes en plastique disgracieuses aperçues lors de ma première venue). L'accueil se déroule tout en discrétion, retenue vite estompée par les conseils éclairés à chaque service.
Cuisine: 8/10
Apprise lors d'une formation aux Etats-Unis (et plus exactement à Los Angeles) et confirmée par une expérience de quelques mois dans une maison typique au Japon, la cuisine de Hung est fine et précise, dans le plus pur respect de la tradition. La carte, "minimalistement" efficace, propose deux menus "Découverte" créés selon l'envie du chef et en fonction de la pêche du jour. A ce sujet, j'émets quelques doutes sur la provenance revendiquée de certains poissons. En revanche, bonne est la surprise quand je découvre la qualité supérieure du shiso, du wasabi, de la sauce de soja, du gingembre, du riz idéalement mis en température ou encore de la soupe miso et des sushis au chalumeau.
Note globale: 14,5/20
Menu Omakase à 45€
Qualité/Prix: 1,5/4
En dépit d'une belle prestation et d'un beau savoir-faire, très loin de tout ce qui se fait dans les plus gros mastodontes commerciaux du secteur, les prix sont désormais déraisonnables. Non pas que ces derniers ont augmenté mais les quantités se sont amenuisées: le tout accentué par la multitude de longs entractes entre chaque "bouchées". Pas d'exotisme en ce qui concerne les breuvages (hormis la plus connue des bières japonaises "Kirin-Asahi"): le "Château La Coste" est le parti pris du lieu.
Cadre/Décor/Service: 5/6
Situé au milieu du boulevard Notre Dame, non loin d'un de ses concurrents Sushi Street Café, ce sushiya de sept places comble sa très petite surface par un haut comptoir angulaire, propice à admirer la dextérité de Hung Do ou à dialoguer entre convives. L'ambiance y est zen et intimiste tandis que la décoration est sommaire: murs très sombres en stuc supportant quelques étagères où s'exposent une "Oroshi" (petite planche en bois, recouverte d'une peau de requin), une statuette nipponne et un service de table authentique (exit les boîtes en plastique disgracieuses aperçues lors de ma première venue). L'accueil se déroule tout en discrétion, retenue vite estompée par les conseils éclairés à chaque service.
Cuisine: 8/10
Apprise lors d'une formation aux Etats-Unis (et plus exactement à Los Angeles) et confirmée par une expérience de quelques mois dans une maison typique au Japon, la cuisine de Hung est fine et précise, dans le plus pur respect de la tradition. La carte, "minimalistement" efficace, propose deux menus "Découverte" créés selon l'envie du chef et en fonction de la pêche du jour. A ce sujet, j'émets quelques doutes sur la provenance revendiquée de certains poissons. En revanche, bonne est la surprise quand je découvre la qualité supérieure du shiso, du wasabi, de la sauce de soja, du gingembre, du riz idéalement mis en température ou encore de la soupe miso et des sushis au chalumeau.
Note globale: 14,5/20
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